L’opérateur mobile Vodacom faisant partie du groupe Télécom a élargi ses frontières en Afrique. En Afrique du Sud, cette entreprise a connu depuis longtemps une place irréprochable au sein du pays. Avec 39,4 millions d’abonnés, cet opérateur possède le plus grand nombre d’abonnés que n’importe quels autres opérateurs mobiles. Cette firme domine sur le secteur, peut-être en excès, selon l’autorité de la concurrence du pays qui est déterminé à faire une enquête sur le contrat entre Vodacom et le gouvernement sud-africain.
Dominance de l’opérateur
Cet opérateur vise plus loin en regardant plus que jamais au-delà de ses frontières. En se rendant compte de la saturation du marché intérieur et sa paralysie par une économie en perte de vitesse, il veut agrandir son réseau dans d’autres endroits, dépassant ses limites de frontières. Cette stratégie d’agrandissement du réseau commençait par l’Afrique de l’Est, là où cette entreprise souhaitait faire un pivot de sa stratégie de croissance. Ensuite en Kenya, l’entreprise a acquis pour 34,6 milliards de rands 35% de Safaricom qui est l’opérateur leader dans ce pays, en compensation, la communauté sud-africaine lui a fait un transfert de 226,8 millions de ses faits. Cette transaction marque un changement au niveau de son histoire.
Les problèmes que l’opérateur fait face
Tout comme les autres opérateurs mobiles concurrents, celui-ci fait face à la déchéance des revenus venant des appels téléphoniques. L’opinion publique ne cesse d’exercer une pression sur l’entreprise pour la baisse de leur prix alors que les services dans le data ont déjà été avantageux. De nouveaux forfaits data de meilleures qualités sont proposés par Vodacom pour faire face à cette échéance. Avec la compétition qui se forme dans l’industrie des télécommunications, les opérateurs estiment que le data est le seul secteur générateur de revenus pour eux.